Je souhaite voir ma famille sur une toile de grand maître,
autour d’une table, au soleil, sous la pluie, à sa manière,
mangeant de riz et du poisson et écoulant des bouteilles,
tous en même temps souriant et criant qu’elle est belle.
– Parce-que la vie partagée vaut l’essence de la scène,
parce-que l’aimer vaut la peine, l’encre et les lettres…
Mais je sais bien que Paris et très loin de ma terre, que
les chants et les poésies brulent les mots des poètes, que
les choses que j’ai décrit font rêver à des chimères, tel
les amoureux qui par défis, à distance s’anhèlent.
Je veux donner à ma famille les couleurs que d’elle reste,
je vais l’asseoir dans un parque ou elle parle sur l’herbe,
ou tous ensembles à la fois trinquent pour les merveilles,
de se savoir sur ma toile, libres, heureux et sans dilemmes.
– Et à ciel ouvert pour la vie, tous crier qu’elle est belle…
‒ Oh nostalgie quel paris je me joue par tristesse,
parce-que c’est aussi difficile le français, que l’absence!
Des souvenirs peignent le sable et un très grand je t’aime,
vous me manquez et je le dis même en langue étrangère,
seule la raison d’une histoire peut briser les légendes,
mais la famille est pour moi, plus qu’éloges et tendances.
‒ Oh nostalgie quel paris je me joue loin sans elle,
parce que la chandelle au lit les photos me ramène…
‒ Oh nostalgie teinte de bleu le ciel noir du poème, met
ma famille au jardin et laisse la porte grande ouverte. Je
sais qu’elle tranquille attendra le retour de la scène,
parce que s’aimer vaut la peine, l’encre et les lettres…
‒ Oh nostalgie fais des rimes un pinceau sans faiblesses,
pour qu’il retrace les lignes qui croisent ma tête. Pour
m’endormir sur le toit de ma bute de chimères; et à
ciel ouvert pour la vie, fort crier qu’elle est belle…
– Et profiter du portrait tous en paix jusqu’à l’aube,
ivres de grâce et lumière, chacun avec sa rose…
‒ Oh nostalgie qu’elle est belle, la vie pleine d’ivresse!
‒ Oh nostalgie quelle tristesse je sens loin d’elle…
– Oh ma famille, ma famille, ma famille je vous aime!
Mi nombre es Rafael Antonio Cantero Suárez, alias Tony. Nacido en la vieja Villa de Trinidad, Cuba, el 26 de junio de 1970, hijo de una maestra y un decorador, la madre razón y el padre lógica, y para más hermano de una capricornio del alma que ya me las ha perdonado todas. Por lo que hoy debo más que nunca antes… Respeto y valor para presentarme como soy, sin complejos destructivos ni delirios excesivos que me hagan morir de rabia, de envidia o de pesadillas. Y de verdad que lo siento pero nadie debería dejarse desestabilizar ni siquiera el más mínimo de los sentidos. Y en esto, si me leen, pienso que al final estaremos más o menos todos de acuerdo, y así yo lo estaré conmigo y con ustedes al mismo tiempo y en casi todos los sentidos.
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